Atelier d’arts plastiques / Exposition

TERRASSE IMAGINAIRE SUR MAISON DE PIERRE

Lieu / architecture / contrastes

Nous avons choisi de travailler dans le hall d’entrée et de proposer une réalisation qui montre un contraste fort entre nature et urbanisme. C’est pourquoi l’architecture austère est représentée par ce cube gris et massif ; et dans le yucca nous avons installé une terrasse où l’extraordinaire et l’imaginaire dominent.

« C’est l’histoire d’un monde imaginaire où le végétal et la couleur s’animent, où le gigantesque devient minuscule...C’est l’histoire de trois chasseurs qui se perdent et se retrouvent dans un monde irréel. Ils trouvent près d’un arbre trois sculptures de l’île de Pâques, puis découvrent un énorme escargot. A force de marcher ils cherchent un lieu pour se désaltérer. Ils s’approchent d’un lac, aperçoivent une sirène et un hibou crachant de l’eau. Ebloui par ce spectacle un des chasseurs reste seul en compagnie de l’envoûtante sirène... pendant ce temps, les autres reprennent leur chemin mais très vite les ennuis commencent... A vous d’imaginer la suite. »

DE LA BÊTE A L’ÊTRE

Lieu / architecture / contraste

Nous avons choisi ce coin d’architecture sous le premier pallier. Cet espace nous a très vite intéressé car il y avait ce poteau et cet escalier. Nous avons imaginé une histoire en utilisant le poteau comme fil conducteur.

« C’est un chemin qui monte vers le ciel, le chemin est matérialisé par un escalier sur lequel une créature bestiale marche. Puis elle se transforme et évolue en être. Arrivée au bout de ce chemin elle prend son vaisseau spatial, et quitte le monde terrestre pour partir dans l’univers céleste. »

La cabane bleue

lieu / architecture / contraste

Nous avons choisi ce coin pour travailler la verticalité. Au départ nous voulions faire une sorte de temple grec avec 4 colonnes mais la réalisation était trop complexe. Alors nous avons retenu l’idée d’une structure ouverte et rigide tout en conservant l’angle du coin. Nous voulions que notre volume s’adapte parfaitement à ce coin, d’où cette forme. On a choisi la couleur bleue par contraste avec la couleur orangée dominante, travaillé une structure fermée en haut par contraste avec le bas ouvert, le lourd par opposition au léger. Pour finir une échelle de corde permet d’accéder à un espace bien mystérieux.

AU JARDIN Thé garden in school lieu / architecture / contraste

« Nous avons choisi ce lieu pour sa luminosité, grâce aux baies vitrées la lumière extérieure passe bien et éclaire l’ensemble. Les baies vitrées permettent de jouer avec la nature extérieure et nous avons très vite pensé à la serre. Pour ce lieu nous avons eu l’idée de mettre à l’intérieur ce que l’on trouve à l’extérieur et de recréer un jardin imaginaire. Nous avons eu aussi l’idée de créer un contraste entre des choses petites et des choses grandes ; comme par exemple les grandes fleurs qui sortent d’une toute petite serre... » L’arbr’i

lieu / architecture / contraste

« J’ai toujours été impressionnée par les arbres, et j’aime les saisons en particulier l’hiver et l’été. Alors pourquoi ne pas inventer un arbre abris. Ce coin d’architecture m’a plu parce qu’il y avait ce carrelage froid qui rappelle l’hiver et le radiateur qui pour sa chaleur peut rappeler l’été. » Ce sera donc un arbr’i d’hiver.

CABANE MYSTERIEUSE lieu / architecture / contraste

« Nous avons rapidement choisi ce recoin parce qu’il est peu visible et très sombre. Nous avons construit une cabane avec des ouvertures par lesquelles le spectateur peut deviner l’intérieur. La forme devait au départ s’adapter parfaitement à l’angle du mur. Nous voulions également que cette cabane se confonde avec le lieu. Le contraste est produit par la guirlande de lumière et par l’échelle de papier blanc. »

HABITATIONS VEGETALES lieu / architecture / contraste

« Nous avons choisi ce coin car il présente dans l’angle une plante aux feuilles allongées et pointues avec des toiles d’araignée. D’autre part les surfaces vitrées proposent un échange direct avec la nature. Nous avons donc eu l’idée que les araignées habitaient la plante. Alors nous avons cherché des matériaux, des formes et des couleurs pour construire des habitations qui rappellent cette plante.Nous avons chacune réalisé une construction en suspension par contraste avec le bac noir lourd posé au sol. Et maintenant regardez si les araignées sont là... »